Histoire de "Neige"
Bonjour,
Je vais essayer de vous raconter l'histoire de Neige en essayant de rester le plus proche possible de la réalité. J'ai décidé d'écrire ces quelques lignes comme si c'était elle qui le faisait. Pour nous identifier, nous en l'occurence mon épouse et moi, je n'utiliserai pas le mot "maître" auquel je préfère le mot "ami". Aucun être vivant, particulièrement un chat n'a un maître. C'est à mes yeux un terme qui mutile, qui prive de liberté.
Je suis née en mai 2006. Mes "amis " m'ont appelée Neige car à ma naissance j'étais toute blanche.
Ma mère "Plume" avait été recueillie par mes "amis" alors qu'elle avait deux mois.Elle s'était très bien habituée à sa nouvelle vie en compagnie des autres chats de la maison avec lesquels elle adorait jouer. Elle avait réussi à tromper tout le monde avec ses faux airs de petite fille, en me mettant au monde dans un lit inusité de la maison sur lequel elle avait l'habitude de se reposer. (mes "amis" ne s'étaient même pas rendus compte qu'elle était "enceinte", son ventre n'ayant pas grossi attendu que j'étais le seul chaton . Ils avaient trop tardé pour la faire stériliser la croyant bien trop jeune.Ils ont bien fait sinon je ne pourrai pas vous raconter l'histoire de ma vie....)
Tout allait pour le mieux , j'étais la reine de la maison jusqu'au jour où ma mère a eu la mauvaise idée de traverser la seule route étroite et au milieu des champs desservant notre maison, devant une voiture conduite par un chauffard qui n'a rien fait pour l'eviter. J'avais à peine quinze jours et j'étais orpheline.
Mes "amis" ont essayé de me nourrir au biberon ils m'ont prise contre eux au lit pour ne pas que j'ai froid, ils se sont procuré du lait pour chatons un dimanche matin chez un vétérinaire de garde, mais j'avais décidé de me laisser mourir. Je me contentais de miauler de plus en plus faiblement en essayant de téter les autres chats de la maison qui venaient me voir, intrigués par mes appels au secours.
Par bonheur mon "amie" a eu l'idée de contacter une bénévole de l'école du chat libre qui lui a donné le numéro de téléphone d'une maman chat qui venait d'avoir des chatons et qui accepterai peut-être de me donner un peu de son lait. Mon amie me conduisit l'après-midi même à Verfeil dans cette famille d'accueil.Il était temps je n'avais déjà plus la force de bouger, mais dès que j'ai senti une tétine je me suis mise téter et à ronronner. Encore merci à cette chatte qui m'a accueillie comme l'un des siens. J'étais sauvée.......
Je vais essayer de vous raconter l'histoire de Neige en essayant de rester le plus proche possible de la réalité. J'ai décidé d'écrire ces quelques lignes comme si c'était elle qui le faisait. Pour nous identifier, nous en l'occurence mon épouse et moi, je n'utiliserai pas le mot "maître" auquel je préfère le mot "ami". Aucun être vivant, particulièrement un chat n'a un maître. C'est à mes yeux un terme qui mutile, qui prive de liberté.
Je suis née en mai 2006. Mes "amis " m'ont appelée Neige car à ma naissance j'étais toute blanche.
Ma mère "Plume" avait été recueillie par mes "amis" alors qu'elle avait deux mois.Elle s'était très bien habituée à sa nouvelle vie en compagnie des autres chats de la maison avec lesquels elle adorait jouer. Elle avait réussi à tromper tout le monde avec ses faux airs de petite fille, en me mettant au monde dans un lit inusité de la maison sur lequel elle avait l'habitude de se reposer. (mes "amis" ne s'étaient même pas rendus compte qu'elle était "enceinte", son ventre n'ayant pas grossi attendu que j'étais le seul chaton . Ils avaient trop tardé pour la faire stériliser la croyant bien trop jeune.Ils ont bien fait sinon je ne pourrai pas vous raconter l'histoire de ma vie....)
Tout allait pour le mieux , j'étais la reine de la maison jusqu'au jour où ma mère a eu la mauvaise idée de traverser la seule route étroite et au milieu des champs desservant notre maison, devant une voiture conduite par un chauffard qui n'a rien fait pour l'eviter. J'avais à peine quinze jours et j'étais orpheline.
Mes "amis" ont essayé de me nourrir au biberon ils m'ont prise contre eux au lit pour ne pas que j'ai froid, ils se sont procuré du lait pour chatons un dimanche matin chez un vétérinaire de garde, mais j'avais décidé de me laisser mourir. Je me contentais de miauler de plus en plus faiblement en essayant de téter les autres chats de la maison qui venaient me voir, intrigués par mes appels au secours.
Par bonheur mon "amie" a eu l'idée de contacter une bénévole de l'école du chat libre qui lui a donné le numéro de téléphone d'une maman chat qui venait d'avoir des chatons et qui accepterai peut-être de me donner un peu de son lait. Mon amie me conduisit l'après-midi même à Verfeil dans cette famille d'accueil.Il était temps je n'avais déjà plus la force de bouger, mais dès que j'ai senti une tétine je me suis mise téter et à ronronner. Encore merci à cette chatte qui m'a accueillie comme l'un des siens. J'étais sauvée.......
S ujet: il était une fois
"Neige"2  Dim 11 Fév - 14:37
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Je suis donc avec une nouvelle famille. Ma nourrice ne sait plus où donner de la tête, elle doit s’occuper de ses cinq chatons, de deux autres trouvés dans un caniveau, et enfin de moi
qui suis la plus petite. Nous devons nous partager le lait de ma mère, et prendre en complément un biberon plusieurs fois par jour, que je m’obstine à refuser, mon caractère de siamois y
étant sûrement pour quelque chose. Ma croissance s’en trouve légèrement perturbée, mais je suis quand même très vive et adore jouer avec frères et sœurs d’adoption.
Mes « amis » ont pu me récupérer pour le week-end du 14 juillet, date mémorable, après qu’un homme en blanc m’ait glissé sous la peau une puce pour soit disant m’identifier, comme si nous les animaux nous n’avions pas suffisamment de problèmes avec les parasites….  J’ai donc retrouvé Manu, Tomy, Miss teigne, Pépino, qui sont venus me voir mais qui dans un premier temps n’ont pas voulu jouer avec moi, alors que j’en avais tant envie. J’ai donc dû m'amuser avec mes " amis " qui riaient de mes maladresses.J'avais encore besoin de téter quand je me sentais trop seule et c'est Uvéa ma maman chienne qui a bien voulu me préter ses tétines, rien n'en sortait mais c'était si bon, et je m'endormais sur le ventre de cette nouvelle protectrice.  Maintenant je suis grande , je chasse beaucoup et je suis devenue la terreur des mulots et des oiseaux que mes "amis " nourrissent en hiver sur des nichoirs qui sont hors de portée de mes griffes pointues , mais parfois lorsqu’un de ces volatiles s’aventure par terre…….. |
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